vendredi 28 février 2014

Anniversaire de l'ASPA

 
C'est le dimanche 23 février, lors d'une après-midi conviviale, que les membres du bureau ont eu le plaisir de recevoir une nombreuse assemblée pour fêter les 10 ans d'existence de l'ASPA.
Grâce à un diaporama, la Présidente, Madame Abrard, a pu  rappeler les travaux effectués au cours des  dix années écoulées et présenter le blog, dernier-né de l'association.
 
Ce fut l'occasion de déguster un savoureux gâteau accompagné de quelques friandises autour du verre de l'amitié.
 
 
 
Ci-dessous la publication du journal " La Provence".
 

lundi 17 février 2014

Sortie du 13 février 2014 : le Vieil Auriol

Départ du musée Martin-Duby ancienne loge à grains en 1555.
Ce bâtiment a été surélevé en 1689 pour le commerce du blé. En 1717 la salle voutée du rez de chaussée est fermée.
En 1732, la mairie est situé au 1er étage et la  loge aux grains au rez de chaussée.

Le beffroi

En 1727, aménagement de la fontaine par l’architecte RAMBOT.
En 1759, la construction est multifonction : mairie, octroi, loge aux grains puis  elle tombe en ruines en 1785.
En 1812, elle est remise  en état et en 1814 on ajoute des escaliers à double volées en pierres de taille et rampe en fer forgé.
En 1969, la mairie est transférée à l’adresse actuelle et le bâtiment devient musée en 1994.
 
 
 
 

La porte principale de la ville : porte du rempart avec gonds, herse. Elle est transformée en 1564 en beffroi avec jacquemart. Elle deviendra une Horloge en 1865  telle qu'on peut la voir actuellement .
Rue Salomon : le parking remplace la maison des Salomon dont Germain était juge principal de l’Abbaye de St Victor.
La Placette le Chanoine BARGES y est né. C'est lui qui a fait connaître le Trésor d’Auriol.
Rue Etroite : c'était l'ancienne rue Longue puis droite, c'était la rue principale du Vieil Auriol.
A droite, on peut voir les emplacements des premières maisons de la ville.
A gauche, au Trou du Loup (Place Neuve), se situait l'ancien auditoire et la prison lors de la révolution.
Place Ste Barbe : Ste Barbe était la patronne des artificiers. La statue est placée sur la fontaine en 1767. L’horloge Briquet depuis 1767 était entourée autrefois de la chapelle de Ste Barbe et des pénitents Blancs.
Cette place est rendue célèbre en 1954 par Marcel Pagnol qui y tourne l’arrivée de la diligence de Beaucaire à Pampérigouste dans son film tiré des Lettres de mon Moulin.
Les statues de la façade, n° 21 rue Coulette, ancien Grand Chemin. L'autorisation de les apposer  fut donnée au propriétaire Maximin BONIFAY, « fabriquant de mallons et tomettes » par le Duc de Villars, gouverneur général des pays et Conté de Provence.
 
 
 
 
 
Rue Cluée nous avons une superbe vue sur les tours du château médiéval. On peut aussi voir les Remises de rouge (colorant pour tomettes) et  la tuerie (abattoirs pour animaux de boucherie).
Oratoire St Bernard : c'est le 1er oratoire des 14 stations de Ste Croix.
Panorama sur Auriol sous la terrasse du château. Vue sur la rue caladée Côte Gaillarde.
 
Nous descendons par la rue Ste Croix , rue Hôpital Vieux, précédemment Hôpital du St Esprit.
Vue sur la Place d’Amont, la  maison du quinzain qui prélevait l’impôt du même nom.
Rue des Gorgues : c'était l'arrivée du grand béal qui alimentait le moulin de la paroisse.

Vue sur le passage Le Râtelier.
Nous poursuivons par le Lavoir  St Eutrope.

St Eutrope
Le lavoir
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
Retour par la rue Paroisse et la fontaine des Jumelles.

 

mercredi 12 février 2014

Journal " La Provence" du 6/02/2014

 
 
Ci-dessous, quelques panneaux exposés lors de la conférence :